L’immobilier aussi devient transparent…
Le manque de logements en Israël fait monter régulièrement les prix de l’immobilier, les banques israéliennes (merci Stanley Fisher !) sont ultra protégées puisqu’elles limitent leur participation à la moitié de la valeur des biens, tout en réduisant au maximum les taux d’intérêts à long terme. Il faut désormais plus de 11 ans de salaire, à un Israélien moyen, pour acheter