Le marché locatif israélien a connu des changements notables ces derniers mois, notamment en raison des déplacements liés à la crise de « l’Épée de fer ». Cette mobilité a intensifié la demande dans des zones perçues comme plus sûres, poussant les loyers à la hausse. Pour les futurs locataires, c’est l’occasion d’identifier des villes à fort potentiel, en privilégiant le confort, la modernité et la sécurité.
Conseil pratique : avant de choisir, définissez la proximité des transports, des espaces verts et des abris (Mamad).
D’après une étude menée par Different sur 180 000 annonces entre avril 2024 et avril 2025, la moyenne nationale s’établit à 5 169 ₪ par mois, en hausse de +6 % sur un an. Les logements sont évalués sur 10 critères : type, surface, nombre de pièces, sécurité (Mamad), équipements… La note moyenne nationale est de seulement 4,4/10, reflétant le besoin d’améliorations.
Pour les acheteurs : détectez les quartiers en pleine réhabilitation ; pour les vendeurs : valorisez les atouts comme un Mamad, un balcon ou des rénovations.
Harish se démarque largement en tête du classement avec 8,5/10 ; loyer moyen : 4 174 ₪ (+17 %). Ville moderne, elle attire les familles à la recherche d’un bon rapport qualité-prix. L’offre y reste limitée (<1 000 logements), ce qui sécurise les loyers mais augmente la compétition.
Conseil pratique : anticipez la demande, préparez un dossier solide (garanties, revenus) pour réserver rapidement.
Les grandes villes comme Tel-Aviv restent très demandées, avec des loyers élevés mais une offre riche en équipements et services (transports, universités, centres culturels). Toutefois, pour ceux qui souhaitent s’éloigner du rythme effréné tout en restant connectés, des localités périphériques (ex. Herzliya, Netanya) offrent un bon compromis.
À connaître : comparez les temps de trajet, l’accès aux bus, tram ou navettes interurbaines, et la possibilité de télétravail.
À l’autre extrémité, Bat Yam affiche la note la plus basse (1,5/10) malgré un loyer moyen de ~5 067 ₪ et une offre abondante. Les logements sont souvent anciens, peu rénovés, avec un potentiel peu exploité. Pour vendre ou louer ici, miser sur la rénovation ou le changement de destination (Coworking, coliving) peut transformer le rendement.
Des villes comme Beer‑Sheva émergent en tant que centres attractifs grâce à leur université Ben‑Gourion, leurs infrastructures culturelles et une croissance démographique forte. Les loyers y sont plus accessibles, et l’évolution urbaine est en plein essor. C’est un terrain favorable pour les investisseurs modestes.
Conseil acheteur/investisseur : privilégiez les programmes neufs ou les rénovations dans les « villes de développement » comme Beer‑Sheva pour anticiper une plus-value.
En résumé :
– Sécurité et Mamad sont devenus essentiels.
– Harish– Beer‑Sheva représentent des niches gagnantes.
– Tel‑Aviv et Herzliya restent attractives pour leur stature mais plus chères.
– Les secteurs en défi (comme Bat Yam) offrent des opportunités de transformation.
Pour activer votre projet : définissez vos priorités (budget, taille, sécurité), repérez les villes ciblées, et soignez votre dossier locatif ou de financement. Le marché israélien recèle des dynamiques positives, à saisir dès maintenant !
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